Lundi 10 novembre, le club a accueilli 2 nouveaux marcheurs, Jacqueline et Bernard.

Malgré le pont, 12 randonneurs sont partis de Four pour rejoindre Les Odiberts à Pouilly les Feurs, avec l’arrière-pensée du président de vérifier l’état du chemin rouvert  par le club entre les 2 bois partant de La Font du Cercle.

Les chemins étaient souvent témoins des 3 jours de pluie précédents. Quelques rayons de soleil ont permis de faire des photos des belles couleurs d’automne. 

Martine a ponctué la balade d’explications sur les diverses trouvailles en champignons.

Le petit encas de l’arrivée a permis de récupérer du bon dénivelé  du retour d’un circuit, somme toute, agréable.

Les marcheurs ont profité de l’été indien pour se balader dans les sous-bois de Montcellier. Ils ont accueilli Pierre-Jean un nouvel adhérent.

La semaine dernière la sortie avait joint l’utile à l’agréable en débalisant la rando du 12 octobre.

La semaine prochaine un circuit sera réservé aux enfants  et la semaine suivante, ce sera sortie mycologique avec l’expertise de Martine.

Où marcher quand il fait chaud ? Sur les chemins ombragés bien sûr.!

Certains ne se sont pas rendus compte que la rando du lundi avait repris... c’est donc à nouveau seulement 7 marcheurs qui ont pris tout naturellement la direction du Bois St Marc pour apprécier la fraîcheur de la futaie.

Bois qui permet de marcher sur Bussières, Pouilly et Rozier.

Merci à celui qui identifiera le beau polypore en photo. 

Toujours sur les photos, que de chemins dégradés par les ornières !

Attirés par les sous-bois...

Ça sent les vacances, seulement 6 marcheurs ce lundi 16 juin!

 La chaleur les a donc incités à parcourir les forêts : direction le Bois St Marc, pour la fraîcheur de ses sous-bois.

Quel plaisir! seulement l’odeur de l’humus et le bruit du vent dans les feuillages!

 Profitant ainsi de ce cadre, la balade a été ponctuée de nombreux arrêts pour bavarder.

​ Sur les plateaux dominant la plaine, l’odeur du foin coupé les interpellait, mais il fallait rentrer...

Un circuit sur les bords de Loire implique des ponts pour la traverser...

Ce 12 mai, ils étaient 16 à partir du viaduc des Chessieux en forme de S en direction du Chatelard où les Ségusiaves ont laissé des traces de leur passé.

Etonnant, un kiosque en plein champ... la musique augmenterait-elle la production de lait ?

La Loire n’est pas un long fleuve tranquille et suivre son cours n’est pas de tout repos non plus, de bons dénivelés ont sollicité les mollets. 

Puis passage à nouveau sur l’autre berge au niveau de la digue de Pinay et après la traversée de St Georges-de-Baroille, ils ont rejoint l’arrivée où le petit encas a été apprécié.